Peinture au diamant : Yaakov Abergel
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Née en France à Toulouse, la ville rose, de Hananiah Abergel et Esther Malka (née Berdah). Deuxième de trois enfants.
Jusqu'à son adolescence, il a vécu à la campagne à St Ferréol. A l'âge de 12 ans, sa mère lui fait prendre des cours de violon qu'il suit pendant deux ans, mais il décide d'arrêter la musique pour se consacrer au dessin et à la peinture. Son père, marchand de meubles, d'antiquités et amateur d'art, l'encourage à développer son goût pour le dessin. A l'âge de 12 ans, il lui offre un chevalet. Cette relation qui naquit entre eux, celle d'un admirateur des peintres et d'un peintre en herbe avide de conseils et de connaissances, se poursuivit tout au long de leur vie.
A 14 ans, suite au divorce de ses parents, il part vivre avec sa mère et ses deux sœurs à Toulouse. Durant cette période il découvre la bande dessinée à laquelle il ne cessera de se consacrer jusqu'à l'âge de 22 ans. Pendant les années à Toulouse, il se cherche beaucoup, et en plus d'une passion pour la photographie et le cinéma, il commence à s'intéresser à la peinture. Après avoir commencé ses études scientifiques, il obtient finalement un baccalauréat artistique qui l'amène à s'inscrire à l'École d'architecture où il étudie pendant deux ans. Avant de passer ses examens pour entrer en troisième année il décide d'abandonner ses études et d'aller à l'école St Luc à Bruxelles, à l'école de bande dessinée. Durant cette période il découvre l'art contemporain et les artistes contemporains et décide d'arrêter la bande dessinée pour se consacrer à l'art contemporain.
Il part vivre en Italie, à Florence, afin de s'inscrire dans une école de peinture. Lors de son inscription, le directeur de l'école, au vu de son travail, lui a dit qu'il perdrait son temps à étudier et que le moment était venu de commencer à vivre. Il a écouté ses conseils et a commencé un voyage solitaire. Après un an passé à Florence, il quitte la "Dolce Vita" pour revenir à Toulouse où il passe l'examen des Beaux-Arts, mais ne reste que quelques mois aux Beaux-Arts, qu'il quitte finalement pour se consacrer à la peinture. Lors de son bref séjour aux Beaux-Arts de Toulouse, il rencontre Annie Merle qui voit son travail et le choisit parmi les artistes auxquels elle dédie un livre qu'elle publie intitulé : "les peintres de l'école toulousaine".
Jusqu'à l'âge de 27 ans, il n'a cessé de travailler, de peindre et de dessiner sans jamais parvenir à s'intégrer dans un milieu artistique, que ce soit dans le monde des galeries ou dans le milieu des peintres. Bien qu'il ne parvienne pas à exposer son travail, il poursuit ses recherches. Il avait 27 ans et a décidé de gagner sa vie. Ses parents, qui travaillent dans le commerce de meubles, l'aident à devenir vendeur. Il travailla d'abord dans le magasin de son père, puis sa mère l'emmena avec elle pour lui apprendre le métier. Après des débuts difficiles, il acquiert de bonnes bases qui lui permettent de partir travailler seul dans un magasin à Paris. Il y travailla pendant 3 ans. Pendant cette période, il continue à dessiner, principalement sur les blocs utilisés pour les ventes. Il peint quelques tableaux et réalise de nombreux dessins des rues de Paris pendant ses jours de repos.
Sa sœur aînée, alors devenue nonne, lui envoya des livres sur la partie profonde de la Torah, sur le hassidisme, Habad et le Rabbi de Loubavitch.
Pendant les vacances, il fait un voyage à Tahiti et Bora Bora. Ce voyage sera décisif dans sa vie car il réveillera son envie de peindre et de créer au point que suite à ce voyage, il décide de démissionner de son métier de vendeur pour se consacrer à la peinture. Il se rend ensuite à Montréal, au Canada, pour rendre visite à sa sœur cadette qui y vit depuis un certain temps. Il y rencontre Haim Sherff, un peintre religieux israélien vivant à Montréal, qui le sensibilise à l'importance d'être attaché à ses racines et lui recommande de devenir plus religieux en étudiant la Torah. En effet, selon lui, l'Art est indissociable de l'esprit divin exprimé dans la Torah. Yaakov écoute ces recommandations et entame un cheminement religieux parallèlement à son travail d'artiste, sous l'influence du maître du hassidisme, le Rabbi de Loubavitch.
Ses nouvelles habitudes l'amènent naturellement à prier tous les matins à la Synagogue de la Rue Pallaprat où prie également le grand Rabbin Eliahou Haik, et le Chabbath à la Synagogue du Rabbin Shalia'h à Toulouse : Rav Yossef-Itz'hak Matusof, qui fut le premier à le présenter au rabbin et au monde hassidique. C'est durant cette période qu'il découvre le livre de Tanya avec le Rav Gabriel Sebagh. Il a également étudié la ‘Hassidout Habad avec le Rav Israël Zerdun.
Il revient vivre à Toulouse. Sa mère rencontre Dany Simon, qui possède une galerie d'art et organise sa première exposition d'œuvres inspirées du monde religieux.
C'est à cette époque qu'il rencontre Liba par l'intermédiaire de David et Edith Hagège, amis de sa sœur aînée, et l'épouse le 22 juin 1997 à Lyon. Un an après son mariage, le couple décide de rejoindre la sœur de Yaakov et son mari Samuel Marquès qui vivent en Israël depuis un an et s'installent à Jérusalem.
Il passe de moins en moins de temps à peindre et à dessiner car il se consacre à l'étude de la Torah, d'abord à la Yeshiva du Rav Chai Barkats puis surtout au Kollel du Rav Shimon Elitouv sous la direction du Rav Avraham Kot. Il a passé 4 ans au Kollel et a obtenu son ordination rabbinique du Rav Itz'hak Yehudah Yeruslavski. C'est durant cette période qu'il rencontre une personne qui sera déterminante dans sa vie, le Rav Ytz'hak-Tsvi Eizenbakh, avec qui il étudie la ‘Hassidout pendant de nombreuses années, notamment le livre de Tanya. Il a suivi de nombreux cours à ‘Hassidout, notamment des cours donnés par le Rav Aaron-Mordechi Zilberstraum, le Rav Chmuel Weinfeld, le Rav Chneor-Zalman Gopin, le Rav Avraham-Barukh Pevzner et le Rav Moshe Weiner. Il est particulièrement attaché au Rav Yosef-Itz'hak Offen dont il suit les cours à ce jour.
Son goût artistique l'amène naturellement à étudier Sofrut à Bneï Brak avec le Rav Gerschtenkorn, qui lui est recommandé par le Rav Moché Landau. Il a obtenu la Smi'ha de Sofer du Rav Yeruslavski, ce qui lui a permis d'exercer le métier de Sofer jusqu'à aujourd'hui en écrivant le Ktav de l'Admur Hazaken.
Il a également obtenu une Smi'ha de Cho'heth du Rav Shimon Elitouv, mais à part le Kapparoth qu'il a fait avec son ami du Kollel, le Rav Yaakov Cho'hat, il n'a pas pratiqué ce métier.
En 2000, sa fille 'Haya-Mushka est née à Jérusalem le jour de Pourim Katan.
Il a changé de Kollel et a commencé à étudier le dayanut au Kollel 'Ariel' jusqu'à aujourd'hui, avec le Rav Moché Pinder. Il se consacre de plus en plus à la peinture et peint de nombreux portraits des Maîtres de Habad. Son travail se diversifie de plus en plus et il entame une série de marines sur palettes de bois.
Parallèlement à ses études et à son travail artistique, il consacra beaucoup de temps à l'écriture de livres basés sur les enseignements des Maîtres de Habad et du Rabbi, et en particulier sur l'essence de l'âme. Ce sujet ne le quittera jamais. Il a publié 3 livres.
En 2009, ses deux fils sont nés à Lag Ba Omer.
Il poursuit l'écriture d'un roman qu'il avait commencé quelques années plus tôt, rassemblant des souvenirs de ses voyages (notamment son voyage à Bora-Bora) et des réflexions sur la téchouva. Son œuvre s'intitule "Des couleurs dans les veines" et révèle sa passion pour l'Art.
Sa sœur a organisé une exposition de ses peintures à Raanana dans la galerie "Merkaz Giron". Il a eu l'occasion de présenter dans de grands tableaux un petit aperçu de son travail basé essentiellement sur le monde hassidique.
Il rencontre ensuite Yaakov Benhaim et Moché Krieger du magazine Meteor LeMag qui consacrent une vidéo à cette occasion. Cette rencontre a marqué le début d'une collaboration dont est née la réalisation de vidéos de cours de Torah et de Hassidout.
La diffusion des sources de la ‘Hassidout est au centre de ses préoccupations et tout en poursuivant ses études il donne de nombreux cours autour de lui. Son activité artistique s'intensifie et un nombre incalculable de dessins viennent s'ajouter à ses peintures.
Son ami Nissim Belma le met en contact avec son frère Elie, avec qui il conçoit un site Internet dont l'objectif est de faire connaître son travail artistique et de diffuser les Sources de la Hassidout à l'extérieur.
Depuis son exposition à Raanana, il a pris l'habitude d'écrire sur ses toiles des extraits des discours hassidiques du Rabbi de Loubavitch. Mêlant les mots aux images, le peintre semble pouvoir exprimer son amour de la peinture et de l'écriture qu'il unit sur ses toiles.
"Vous savez sans doute que la qualité d'un peintre consiste à cacher l'aspect extérieur d'un objet, en oubliant ses contours, afin de le pénétrer, de saisir son aspect profond et son essence, afin de l'exprimer à travers sa toile. Ainsi, celui qui la contemple percevra ce qu'il n'avait pas remarqué auparavant, lorsque la partie intérieure était cachée par des éléments accessoires."
Rabbin de Loubavitch
Jusqu'à son adolescence, il a vécu à la campagne à St Ferréol. A l'âge de 12 ans, sa mère lui fait prendre des cours de violon qu'il suit pendant deux ans, mais il décide d'arrêter la musique pour se consacrer au dessin et à la peinture. Son père, marchand de meubles, d'antiquités et amateur d'art, l'encourage à développer son goût pour le dessin. A l'âge de 12 ans, il lui offre un chevalet. Cette relation qui naquit entre eux, celle d'un admirateur des peintres et d'un peintre en herbe avide de conseils et de connaissances, se poursuivit tout au long de leur vie.
A 14 ans, suite au divorce de ses parents, il part vivre avec sa mère et ses deux sœurs à Toulouse. Durant cette période il découvre la bande dessinée à laquelle il ne cessera de se consacrer jusqu'à l'âge de 22 ans. Pendant les années à Toulouse, il se cherche beaucoup, et en plus d'une passion pour la photographie et le cinéma, il commence à s'intéresser à la peinture. Après avoir commencé ses études scientifiques, il obtient finalement un baccalauréat artistique qui l'amène à s'inscrire à l'École d'architecture où il étudie pendant deux ans. Avant de passer ses examens pour entrer en troisième année il décide d'abandonner ses études et d'aller à l'école St Luc à Bruxelles, à l'école de bande dessinée. Durant cette période il découvre l'art contemporain et les artistes contemporains et décide d'arrêter la bande dessinée pour se consacrer à l'art contemporain.
Il part vivre en Italie, à Florence, afin de s'inscrire dans une école de peinture. Lors de son inscription, le directeur de l'école, au vu de son travail, lui a dit qu'il perdrait son temps à étudier et que le moment était venu de commencer à vivre. Il a écouté ses conseils et a commencé un voyage solitaire. Après un an passé à Florence, il quitte la "Dolce Vita" pour revenir à Toulouse où il passe l'examen des Beaux-Arts, mais ne reste que quelques mois aux Beaux-Arts, qu'il quitte finalement pour se consacrer à la peinture. Lors de son bref séjour aux Beaux-Arts de Toulouse, il rencontre Annie Merle qui voit son travail et le choisit parmi les artistes auxquels elle dédie un livre qu'elle publie intitulé : "les peintres de l'école toulousaine".
Jusqu'à l'âge de 27 ans, il n'a cessé de travailler, de peindre et de dessiner sans jamais parvenir à s'intégrer dans un milieu artistique, que ce soit dans le monde des galeries ou dans le milieu des peintres. Bien qu'il ne parvienne pas à exposer son travail, il poursuit ses recherches. Il avait 27 ans et a décidé de gagner sa vie. Ses parents, qui travaillent dans le commerce de meubles, l'aident à devenir vendeur. Il travailla d'abord dans le magasin de son père, puis sa mère l'emmena avec elle pour lui apprendre le métier. Après des débuts difficiles, il acquiert de bonnes bases qui lui permettent de partir travailler seul dans un magasin à Paris. Il y travailla pendant 3 ans. Pendant cette période, il continue à dessiner, principalement sur les blocs utilisés pour les ventes. Il peint quelques tableaux et réalise de nombreux dessins des rues de Paris pendant ses jours de repos.
Sa sœur aînée, alors devenue nonne, lui envoya des livres sur la partie profonde de la Torah, sur le hassidisme, Habad et le Rabbi de Loubavitch.
Pendant les vacances, il fait un voyage à Tahiti et Bora Bora. Ce voyage sera décisif dans sa vie car il réveillera son envie de peindre et de créer au point que suite à ce voyage, il décide de démissionner de son métier de vendeur pour se consacrer à la peinture. Il se rend ensuite à Montréal, au Canada, pour rendre visite à sa sœur cadette qui y vit depuis un certain temps. Il y rencontre Haim Sherff, un peintre religieux israélien vivant à Montréal, qui le sensibilise à l'importance d'être attaché à ses racines et lui recommande de devenir plus religieux en étudiant la Torah. En effet, selon lui, l'Art est indissociable de l'esprit divin exprimé dans la Torah. Yaakov écoute ces recommandations et entame un cheminement religieux parallèlement à son travail d'artiste, sous l'influence du maître du hassidisme, le Rabbi de Loubavitch.
Ses nouvelles habitudes l'amènent naturellement à prier tous les matins à la Synagogue de la Rue Pallaprat où prie également le grand Rabbin Eliahou Haik, et le Chabbath à la Synagogue du Rabbin Shalia'h à Toulouse : Rav Yossef-Itz'hak Matusof, qui fut le premier à le présenter au rabbin et au monde hassidique. C'est durant cette période qu'il découvre le livre de Tanya avec le Rav Gabriel Sebagh. Il a également étudié la ‘Hassidout Habad avec le Rav Israël Zerdun.
Il revient vivre à Toulouse. Sa mère rencontre Dany Simon, qui possède une galerie d'art et organise sa première exposition d'œuvres inspirées du monde religieux.
C'est à cette époque qu'il rencontre Liba par l'intermédiaire de David et Edith Hagège, amis de sa sœur aînée, et l'épouse le 22 juin 1997 à Lyon. Un an après son mariage, le couple décide de rejoindre la sœur de Yaakov et son mari Samuel Marquès qui vivent en Israël depuis un an et s'installent à Jérusalem.
Il passe de moins en moins de temps à peindre et à dessiner car il se consacre à l'étude de la Torah, d'abord à la Yeshiva du Rav Chai Barkats puis surtout au Kollel du Rav Shimon Elitouv sous la direction du Rav Avraham Kot. Il a passé 4 ans au Kollel et a obtenu son ordination rabbinique du Rav Itz'hak Yehudah Yeruslavski. C'est durant cette période qu'il rencontre une personne qui sera déterminante dans sa vie, le Rav Ytz'hak-Tsvi Eizenbakh, avec qui il étudie la ‘Hassidout pendant de nombreuses années, notamment le livre de Tanya. Il a suivi de nombreux cours à ‘Hassidout, notamment des cours donnés par le Rav Aaron-Mordechi Zilberstraum, le Rav Chmuel Weinfeld, le Rav Chneor-Zalman Gopin, le Rav Avraham-Barukh Pevzner et le Rav Moshe Weiner. Il est particulièrement attaché au Rav Yosef-Itz'hak Offen dont il suit les cours à ce jour.
Son goût artistique l'amène naturellement à étudier Sofrut à Bneï Brak avec le Rav Gerschtenkorn, qui lui est recommandé par le Rav Moché Landau. Il a obtenu la Smi'ha de Sofer du Rav Yeruslavski, ce qui lui a permis d'exercer le métier de Sofer jusqu'à aujourd'hui en écrivant le Ktav de l'Admur Hazaken.
Il a également obtenu une Smi'ha de Cho'heth du Rav Shimon Elitouv, mais à part le Kapparoth qu'il a fait avec son ami du Kollel, le Rav Yaakov Cho'hat, il n'a pas pratiqué ce métier.
En 2000, sa fille 'Haya-Mushka est née à Jérusalem le jour de Pourim Katan.
Il a changé de Kollel et a commencé à étudier le dayanut au Kollel 'Ariel' jusqu'à aujourd'hui, avec le Rav Moché Pinder. Il se consacre de plus en plus à la peinture et peint de nombreux portraits des Maîtres de Habad. Son travail se diversifie de plus en plus et il entame une série de marines sur palettes de bois.
Parallèlement à ses études et à son travail artistique, il consacra beaucoup de temps à l'écriture de livres basés sur les enseignements des Maîtres de Habad et du Rabbi, et en particulier sur l'essence de l'âme. Ce sujet ne le quittera jamais. Il a publié 3 livres.
En 2009, ses deux fils sont nés à Lag Ba Omer.
Il poursuit l'écriture d'un roman qu'il avait commencé quelques années plus tôt, rassemblant des souvenirs de ses voyages (notamment son voyage à Bora-Bora) et des réflexions sur la téchouva. Son œuvre s'intitule "Des couleurs dans les veines" et révèle sa passion pour l'Art.
Sa sœur a organisé une exposition de ses peintures à Raanana dans la galerie "Merkaz Giron". Il a eu l'occasion de présenter dans de grands tableaux un petit aperçu de son travail basé essentiellement sur le monde hassidique.
Il rencontre ensuite Yaakov Benhaim et Moché Krieger du magazine Meteor LeMag qui consacrent une vidéo à cette occasion. Cette rencontre a marqué le début d'une collaboration dont est née la réalisation de vidéos de cours de Torah et de Hassidout.
La diffusion des sources de la ‘Hassidout est au centre de ses préoccupations et tout en poursuivant ses études il donne de nombreux cours autour de lui. Son activité artistique s'intensifie et un nombre incalculable de dessins viennent s'ajouter à ses peintures.
Son ami Nissim Belma le met en contact avec son frère Elie, avec qui il conçoit un site Internet dont l'objectif est de faire connaître son travail artistique et de diffuser les Sources de la Hassidout à l'extérieur.
Depuis son exposition à Raanana, il a pris l'habitude d'écrire sur ses toiles des extraits des discours hassidiques du Rabbi de Loubavitch. Mêlant les mots aux images, le peintre semble pouvoir exprimer son amour de la peinture et de l'écriture qu'il unit sur ses toiles.
"Vous savez sans doute que la qualité d'un peintre consiste à cacher l'aspect extérieur d'un objet, en oubliant ses contours, afin de le pénétrer, de saisir son aspect profond et son essence, afin de l'exprimer à travers sa toile. Ainsi, celui qui la contemple percevra ce qu'il n'avait pas remarqué auparavant, lorsque la partie intérieure était cachée par des éléments accessoires."
Rabbin de Loubavitch
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